1. Les dépenses publiques sportives: uneconfrontation entre la demande des citoyens et l'offre despouvoirs publics. 2. Quelles sont les missions majeuresassignées aux pouvoirs publics en matière de sport?. 3.Quelle est la répartition des compétences entre les agentspublics (aux niveaux nationaux, régionaux, locaux)?. 4. Lefinancement...

1. Les dépenses publiques sportives: uneconfrontation entre la demande des citoyens et l'offre despouvoirs publics. 2. Quelles sont les missions majeuresassignées aux pouvoirs publics en matière de sport?. 3.Quelle est la répartition des compétences entre les agentspublics (aux niveaux nationaux, régionaux, locaux)?. 4. Lefinancement public du sport: dépense ou investissement?.

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I. UNE ARMATURE PLUS RESSERRÉE DES SERVICES DÉPARTEMENTAUX DE L'ÉTAT. 1. La préfecture. 2. Les directions départementales interministérielles. 3. Les autres services déconcentrés. 4. Les relais des directions régionales et des Agences régionales de santé. II. UN SCHÉMA LOCAL D'ORGANISATION QUI PEUT S'INSCRIRE DANS...

I. UNE ARMATURE PLUS RESSERRÉE DES SERVICES DÉPARTEMENTAUX DE L'ÉTAT. 1. La préfecture. 2. Les directions départementales interministérielles. 3. Les autres services déconcentrés. 4. Les relais des directions régionales et des Agences régionales de santé. II. UN SCHÉMA LOCAL D'ORGANISATION QUI PEUT S'INSCRIRE DANS UN CADRE MODULAIRE. 1. La répartition de certaines missions. 2. La création éventuelle de services particuliers.

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I. OÙ EN EST LE E-GOUVERNEMENT EN EUROPE?. II. LES PRIORITÉS. 1. L'INTEROPÉRABILITÉ: LA PREMIÈRE DES PRIORITÉS. 2. FACILITER L'ACCÈS À TOUS PAR DES SERVICES DÉLIVRÉS SUR PLUSIEURS TYPES DE PLATEFORMES. 3. LE BESOIN D'ÉCHANGER: LE CADRE D'ÉCHANGE DE BONNES PRATIQUES. III. LES TIC AU SERVICE DE LA DÉMOCRATIE....

I. OÙ EN EST LE E-GOUVERNEMENT EN EUROPE?. II. LES PRIORITÉS. 1. L'INTEROPÉRABILITÉ: LA PREMIÈRE DES PRIORITÉS. 2. FACILITER L'ACCÈS À TOUS PAR DES SERVICES DÉLIVRÉS SUR PLUSIEURS TYPES DE PLATEFORMES. 3. LE BESOIN D'ÉCHANGER: LE CADRE D'ÉCHANGE DE BONNES PRATIQUES. III. LES TIC AU SERVICE DE LA DÉMOCRATIE. IV. VERS UN E-GOUVERNEMENT EUROPÉEN.

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I. UN JEU À TROIS ACTEURS: ÉLUS LOCAUX, ADMINISTRATIONS ET EXÉCUTIF NATIONAL DANS LES POLITIQUES DE DÉCENTRALISATION. II. L'AVANCÉE DE LA DÉCENTRALISATION COMME EFFET DE MOBILISATION DES ÉLUS. 1. LA MOBILISATION DE L'ARGUMENT BUDGÉTAIRE: QUE CELUI QUI PAIE COMMANDE!. 2. L'ALTERNANCE DE 2002, UNE FENÊTRE D'OPPORTUNITÉ...

I. UN JEU À TROIS ACTEURS: ÉLUS LOCAUX, ADMINISTRATIONS ET EXÉCUTIF NATIONAL DANS LES POLITIQUES DE DÉCENTRALISATION. II. L'AVANCÉE DE LA DÉCENTRALISATION COMME EFFET DE MOBILISATION DES ÉLUS. 1. LA MOBILISATION DE L'ARGUMENT BUDGÉTAIRE: QUE CELUI QUI PAIE COMMANDE!. 2. L'ALTERNANCE DE 2002, UNE FENÊTRE D'OPPORTUNITÉ POUR LA RÉFORME. III. L'ÉLABORATION DE LA RÉFORME: UN COMPROMIS ASYMÉTRIQUE ENTRE "GOUVERNANCE" ET FINANCES. 1. UNE ÉCONOMIE INSTITUTIONNELLE FIDÈLE AU PROGRAMME DÉFINI PAR LES ÉLUS LOCAUS. 2. UN PROJET AMENDÉ PAR LES ORGANISATIONS SYNDICALES ET PAR BERCY. 3. L'INTEGRATION DE LA CONTRAINTE BUDGÉTAIRE EUROPEENNE DANS LES RÈGLES DE FINANCEMENT DE LA RÉFORME. IV. LA DÉ-LÉGITIMATION DES RÈGLES FINANCIÈRES IMPOSÉES PAR L'ÉTAT. 1. LES ÉLECTIONS DE MARS 2004, UN FACTEUR DE REMOBILISATION ET DE DURCISSEMENT DE LA CRITIQUE. 2. UNE LUTTE POUR LA (DÉ)-LÉGITIMATION DES RÈGLES FINANCIÈRES. 3. LE SUCCÈS DE LA CAMPAGNE MÉDIATIQUE ORCHESTRÉE PAR LES ÉLUS, À L'ORIGINE D'UNE RÉVISION À LA HAUSSE DE LA COMPENSATION FINANCIÈRE. V. DE LA RUSE DE L'ÉTAT À L'EFFET BOOMERANG?.

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I. ADHÉSION À L'UNION EUROPÉENNE ET RÉFORME ADMINISTRATIVE. II. LES CRITÈRES DE RÉFORME ADMINISTRATIVE ET L'ESPACE ADMINISTRATIF EUROPÉEN. III. DU MANAGEMENT DE LA QUALITÉ À LA GESTION DES ORGANISATIONS. 1. L'ÉVOLUTIÓN DE L'APPROCHE EN TERME DE QUALITÉ (QUALITY THINKING). 2. LES MODÈLES DE GESTION INTÉGRALE...

I. ADHÉSION À L'UNION EUROPÉENNE ET RÉFORME ADMINISTRATIVE. II. LES CRITÈRES DE RÉFORME ADMINISTRATIVE ET L'ESPACE ADMINISTRATIF EUROPÉEN. III. DU MANAGEMENT DE LA QUALITÉ À LA GESTION DES ORGANISATIONS. 1. L'ÉVOLUTIÓN DE L'APPROCHE EN TERME DE QUALITÉ (QUALITY THINKING). 2. LES MODÈLES DE GESTION INTÉGRALE DE LA QUALITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC. IV. LE CADRE D'AUTO-ÉVALUATION DES FONCTIONS PUBLIQUES (CAF): UN MODÈLE COMMUN DE GESTION DES STRUCTURES PUBLIQUES. 1. HISTOIRE ET CONTEXTE. 2. LE MODÈLE THÉORIQUE. III. CONVERGENCE DES IDÉES RELATIVES À LA GESTION DES ADMINISTRATIONS EN EUROPE. 1. CONVERGENCE: UN SEUL MOT POUR PLUSIEURS IDÉES ET THÉORIES. 2. CONVERGENCE DES DISCOURS RELATIFS AUX PRINCIPES DE GESTION DES ORGANISTATIONS PUBLIQUES. 3. CONVERGENCE DES DÉCISIONS POLITIQUES RELATIVES AUX PRINCIPES DE GESTION DES ORGANISATIONS PUBLIQUES. 4. CONVERGENCE DES PRATIQUES DE GESTION DES ORGANISATIONS PUBLIQUES. 5. CONVERGENCE DES RÉSULTATS DE GESTION DES ORGANISATIONS PUBLIQUES.

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I. Permanence d'un ministère de l'outre-mer. 1. Le ministère des colonies (1894-1945). 2. Le temps de la France d'outre-mer (1946-1958). 3. Les débuts du ministère de l'outre-mer (1959-1979). 4. La réforme Dijoud (1979-1997) en héritage. 5. Le ministère de l'outre-mer aujourd'hui. II. Les questions...

I. Permanence d'un ministère de l'outre-mer. 1. Le ministère des colonies (1894-1945). 2. Le temps de la France d'outre-mer (1946-1958). 3. Les débuts du ministère de l'outre-mer (1959-1979). 4. La réforme Dijoud (1979-1997) en héritage. 5. Le ministère de l'outre-mer aujourd'hui. II. Les questions clés d'un ministère de l'outre-mer aujourd'hui. 1. La nécessité d'un ministère spécialisé. 2. La place du ministère de l'outre-mer au sein de l'appareil gouvernemental. 3. L'organisation interne du ministère.

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1. De nouveaux objectifs de stabilité et decroissance. 2. Une séparation claire des rôles et desresponsabilités. 3. Un comité d'experts indépendants, guidépar des procédures spécifiques. 4. Ouverture, transparenceet responsabilisation. 5. La capacité de réaction aux chocséconomiques. 6. La coordination des autorités monétaires...

1. De nouveaux objectifs de stabilité et decroissance. 2. Une séparation claire des rôles et desresponsabilités. 3. Un comité d'experts indépendants, guidépar des procédures spécifiques. 4. Ouverture, transparenceet responsabilisation. 5. La capacité de réaction aux chocséconomiques. 6. La coordination des autorités monétaires etdes autorités budgétaires. 7. Évaluation.

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I. LES EXTERNALITÉS DANS LE DÉBAT SUR LE GOUVERNEMENT MÉTROPOLITAIN. II. LES NOUVELLES INSTITUTIONS DU GOUVERNEMENT DE LONDRES ET LEURS FONCTIONS. III. LA FAIBLESSE DE LA POSITION DU MAIRE. IV. LE PROGRAMME POUR LONDRES: PRIORITÉ À LA VILLE GLOBALE. V. RENDRE COMPTE D'UN AGENDA. VI. CONCLUSION:UNE "VOIX POUR LONDRES" OU...

I. LES EXTERNALITÉS DANS LE DÉBAT SUR LE GOUVERNEMENT MÉTROPOLITAIN. II. LES NOUVELLES INSTITUTIONS DU GOUVERNEMENT DE LONDRES ET LEURS FONCTIONS. III. LA FAIBLESSE DE LA POSITION DU MAIRE. IV. LE PROGRAMME POUR LONDRES: PRIORITÉ À LA VILLE GLOBALE. V. RENDRE COMPTE D'UN AGENDA. VI. CONCLUSION:UNE "VOIX POUR LONDRES" OU UN PRÉCHE DANS LE DÉSERT?.

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I. LES GOUVERNEMENTS RESTENT, LES BUREAUCRATIES PASSENT. II. LE NOUVEAU RÉGIME DES HAUTS FONCTIONNAIRES COMPARÉ AU PRÉCÉDENT. III. LES CAUSES: LA "PASSION DES PLACES". IV. LES EFFETS: LA DOMINATION DES POLITIQUES SUR LES BUREAUCRATES. V. CONTINUITÉ ET FRACTURES DANS LA HAUTE FONCTION PUBLIQUE. VI. LE NOUVEAU RÉGIME À L'ÉPREUVE...

I. LES GOUVERNEMENTS RESTENT, LES BUREAUCRATIES PASSENT. II. LE NOUVEAU RÉGIME DES HAUTS FONCTIONNAIRES COMPARÉ AU PRÉCÉDENT. III. LES CAUSES: LA "PASSION DES PLACES". IV. LES EFFETS: LA DOMINATION DES POLITIQUES SUR LES BUREAUCRATES. V. CONTINUITÉ ET FRACTURES DANS LA HAUTE FONCTION PUBLIQUE. VI. LE NOUVEAU RÉGIME À L'ÉPREUVE DE LA CONSTITUTIONNALITÉ.

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I. LE DIAGNOSTIC DES PROBLÈMES: LA JUSTIFICATION DE LA RÉFORME STATUTAIRE. II. LA FONCTION CONSTITUTIONNELLE DES STATUTS D'AUTONOMIE. III. LES OPTIONS FONDAMENTALES DU STATUT D'AUTONOMIE DE LA CATALOGNE. 1. LE "BLINDAGE" DES COMPÉTENCES AUTONOMIQUES ET UNE MEILLEURE DÉLIMITATION AVEC LES COMPÉTENCES DE L'ÉTAT....

I. LE DIAGNOSTIC DES PROBLÈMES: LA JUSTIFICATION DE LA RÉFORME STATUTAIRE. II. LA FONCTION CONSTITUTIONNELLE DES STATUTS D'AUTONOMIE. III. LES OPTIONS FONDAMENTALES DU STATUT D'AUTONOMIE DE LA CATALOGNE. 1. LE "BLINDAGE" DES COMPÉTENCES AUTONOMIQUES ET UNE MEILLEURE DÉLIMITATION AVEC LES COMPÉTENCES DE L'ÉTAT. 2. LA PARTICIPATION AUX INSTITUTIONS ET AUX ORGANISMES DE L'ÉTAT. 3. LA PARTICIPATION AUX AFFAIRES DE L'UNION EUROPÉENNE. 4. LA RÉFORME DU FINANCEMENT DE L'AUTONOMIE. 5. AUTRES CONTENUS FONDAMENTAUX.

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